Avez-vous un objet ancien ou un objet de collection et comptez-vous le vendre aux enchères ? Si vous avez choisi cette alternative de la vente aux enchères, c’est que vous espérez le vendre au meilleur prix. Avant de confier votre bien au commissaire-priseur, voici ce que vous devez savoir sur le sujet des ventes aux enchères.
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La réussite de la vente aux enchères
Si vous n’avez pas réussi à vendre votre bien, sachez que la vente aux enchères n’est pas la solution assurée qui vous permettra de vous en débarrasser et de toucher un beau pactole. Certes, lors d’une vente aux enchères, c’est l’acheteur qui annonce le montant le plus élevé qui devient propriétaire du bien. Quand on dit « montant le plus élevé », ceci ne veut pas forcément dire ces dizaines ou des centaines de milliers d’euros. Ça peut être une somme modeste.
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La réussite de cette vente dépend entre autres du public de potentiels acquéreurs. Si le public présent n’est pas intéressé par votre objet vintage, il se peut qu’il parte au prix de réserve annoncé par le commissaire-priseur. C’est pour que vous n’en sortez pas perdant à ces ventes aux enchères qu’on recommande de faire estimer l’objet ancien ou de collection. Si le public est composé de grands amoureux des objets de collection, vous pourrez avoir le double, voire le triple du montant espéré. Pour vendre votre voiture de collection, renseignez-vous sur les ventes privées voiture de collection.
La vente aux enchères pour trouver un acheteur sérieux
Le saviez-vous ? Après une vente aux enchères, l’acheteur, notamment le nouveau propriétaire, ne peut plus changer d’avis. Le droit de rétraction n’est pas valable dans le cadre des ventes aux enchères. Lorsque le commissaire-priseur annonce le mot « adjugé », le dernier enchérisseur devient automatiquement le nouveau propriétaire et il devra régler le prix qu’il a annoncé. Après cette vente, il n’a plus le droit de renégocier le prix de vente. S’il a donc annoncé quelques dizaines de milliers d’euros pour votre tapis vintage, vous pouvez être tranquille, car il ne pourra plus faire marche-arrière. Dans la plupart des cas, ces ventes aux enchères se déroulent sans encombre de par le fait que les maisons de vente sélectionnent minutieusement les potentiels acheteurs qui vont se présenter.
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Mieux vaut vendre aux enchères …
De par certains inconvénients de la vente aux enchères, certains propriétaires d’objets anciens ou de collection peuvent être réticents. Certains n’en seront peut-être pas convaincus de par le fait qu’ils ne peuvent pas toucher le montant annoncé le jour de la vente. En effet, la maison de vente ne peut vous régler que quand elle reçoit le paiement intégral de l’acheteur. En tout cas, ce délai ne doit pas excéder les deux mois, mais ceux qui ont besoin d’argent urgent peuvent ne pas être convaincus.
Si vous réagissez ainsi, c’est que quelque part ce bien a une valeur sentimentale pour vous et que vous connaissez bien sa valeur. Sachez que si vous vendez ce bien comme une voiture de collection aux enchères, l’acheteur en prendra bien soin, sinon, pourquoi aurait-il dépensé sa fortune dans ce bien ?
Les frais relatifs à la vente aux enchères
Convaincu par la vente aux enchères ? Sachez que cette transaction s’accompagne de quelques frais. Penchons-nous sur les frais du côté vendeur. Dans la plupart des cas, l’estimation du bien est gratuite, mais on peut vous le facturer si cette intervention nécessite des recherches spécifiques. La maison de vente peut également vous facturer des frais de communication et de publicité de la vente. Les frais que vous, vendeur, devez régler ne s’arrêtent pas là, car il y a aussi le prix marteau qui sert de rémunération à la maison de vente et au commissaire-priseur. Pour une vente aux enchères d’art à Paris, si l’acheteur demande une livraison, ces frais d’expédition lui reviendront.
